Netanyahu soutient une solution à deux États, mais conditionnée par des garanties de sécurité, comme la reconnaissance d'Israël comme État juif. Il a approuvé l'expansion des colonies en Cisjordanie, ce qui alimente des critiques internationales, mais défend cette politique comme vitale pour la défense nationale.

Le conflit s'est intensifié avec la guerre de 2020, où l'Azerbaïdjan, soutenu par la Turquie, a repris une grande partie du Haut-Karabakh. En 2023, les combats ont abouti à la dissolution de la République d'Artsakh, déplaçant des milliers d'Arméniens, marquant un tournant dans la géopolitique du Caucase.

L'origine remonte aux rivalités territoriales sous l'Empire ottoman et l'URSS, où la région du Haut-Karabakh, peuplée majoritairement d'Arméniens, a été attribuée à l'Azerbaïdjan soviétique, créant des tensions ethniques. La dissolution de l'URSS en 1991 a déclenché une guerre pour l'indépendance de l'Artsakh, exacerbant les conflits identitaires et nationaux.

Le conflit entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan est un conflit territorial centré sur le Haut-Karabakh (également appelé Artsakh), une région disputée depuis l'effondrement de l'URSS en 1991. Il implique des tensions ethniques, religieuses et politiques, avec des guerres majeures en 1992-1994 et 2020, impactant la stabilité du Caucase du Sud.

Le conflit en Ukraine a renforcé l'isolement international de Poutine, avec des sanctions économiques massives, un déclin du PIB russe, et un exode des cerveaux. Militairement, malgré des gains initiaux, la guerre s'enlise, épuisant l'armée et provoquant des pertes humaines colossales. Sur le plan intérieur, la répression s'est intensifiée, mais le soutien populaire demeure élevé grâce à une propagande étatique axée sur l'anti-occidentalisme.